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Mon ascension vers le côté libre de la force

par Tony Silotia · il y a 5 ans. business

Dans une galaxie lointaine, très lointaine...

Depuis tout petit, même avant, j’ai toujours eu comme ambition de faire le minimum d’effort possible pour accomplir une tâche.

Lorsque je sentais qu’une tâche allait me prendre plus de temps qu’escompté, au mieux, je la réalisais avec la plus mauvaise volonté possible. Au pire je ne la faisais pas du tout.

Pendant une longue période de ma jeunesse, j’ai pratiqué le BodyBoard. Et vous savez quelle est la première chose qui vient à l’esprit lorsqu’on évoque ce sport? La Liberté! (Les produits illicites arrivent en seconde position mais vous comprenez bien que je ne peux pas en parler ici)

Plus tard, je me suis mis à faire du Trail. Et vous savez quelle est la première chose qui vient à l’esprit lorsqu’on évoque ce sport? La Liberté! (Les produits illicites arrivent en seconde position mais vous comprenez….)

Une forte aspiration à la liberté. Un profond désir d’automatiser et de réduire des tâches non gratifiantes pour en faire d’autres plus importantes. Quelle est donc l’activité qui me correspondrait le mieux?

Je suis donc devenu un Développeur Informatique perdu dans l’anonymat du salariat avec un début de carrière prometteur.

Difficile de voir où je veux en venir n’est-ce pas? Assurément et je vous comprends.

Mon esprit est comme les films de David Fincher. Vous ne comprenez rien tout au long du film et dans les dernières minutes tout s’emboite parfaitement comme SeugBeom Cho qui termine le Rubik’s Cube en 4,59 sec.

(Si vous espérez un jour battre ce record, vaut mieux arrêter la lecture de cet article et commencer sérieusement à vous entraîner.)

J’ai fait mes premières armes dans une Société de services en Informatique pendant 9 ans. Je concevais des applications qui permettaient aux gens de fournir un minimum d’effort pour accomplir des tâches quotidiennes.

En contrepartie j’avais un énorme volume horaire de travail et je ne parvenais pas à automatiser mes tâches pour me libérer du temps.

Ensuite j’ai changé de boite pour intégrer un service informatique dans une grande entreprise de la place. J’ai eu l’illusion pendant un certain temps que c’était le système qu'il me fallait mais vous vous doutez bien, chèr(e) lecteur(e) que si je parle au passé c’est pour une raison.

Il manquait toujours quelque chose…

Quitter Tatooine pour rejoindre la Rébellion.

image en noir et blanc, musique de John Williams, bruits de sabre laser, destruction de vaisseaux, et tout et tout…

J’étais ce jeune Stormtrooper F56543 qui voulait que ses actions aient du sens et non pas faire une multitude de tâches les plus insignifiantes que les autres tout en restant loyal à l’Empire du système.

Ou encore, j’étais le jeune Skywalker qui a grandi sur la planète désertique Tatooine, dans une ambiance peu propice au développement de ses capacités naturelles et qui garde au fond de lui son côté aventurier qui s’accroit au fil des années.

Une destinée ne s’écrit pas seule. Ma route a croisé celle d’un Han Solo (*ceci est un nom d'emprunt pour protéger l'anonymat de mon associé dans cette aventure), lui aussi fatigué par des années d’asservissement dans un système qui ne nous convenait plus.

A ce moment, je ne le savais pas encore que cet arrogant contrebandier deviendrait dans les années qui viennent un ami fidèle avec lequel j'allais partager bon nombre de péripéties... 

A ce moment, je ne le savais pas encore que cet arrogant contrebandier deviendrait dans les années qui viennent un ami fidèle avec lequel j'allais partager bon nombre de péripéties... 

On décide de quitter nos pantoufles en béton du salariat pour s’envoler vers le côté libre de la Force.

Quitter Tatooine n’a pas été une histoire de tout repos.

A plusieurs reprises j’ai vu mes rêves se briser sur les parois de l’Etoile Noir du système de l’Entreprise.

A plusieurs reprises, le côté obscur s’est insinué en moi pour distiller la peur, la colère et l’envie d’abandonner mes rêves.

Mon aptitude au sabre laser a été fortement sollicité et mes craintes ont été laissées sur place une fois l’Hyper Espace franchi.

Un nouvel espoir...

Au moment de rédiger cet article, je suis à 28 jours en tant que Freelance.

28 jours c’est peu mais j’ai étiré ma zone de confort dans ses quatre extrémités et ce plus de fois qu’en une vingtaine d’années.

Ce qui a bien marché pour moi :

  1. J'ai participé à un événement inter blogueur et l'article 3 livres pour changer de vie a généré un nombre de visite exceptionnel vers le blog.
  2. Sur les conseils d'une lectrice qui m'a conseillé la 25ème heure (ceci est un lien affilié, il faut bien manger) , j'ai participé à un atelier dans un espace de coworking animé par... un des auteurs du livre, Guy Declair!
  3. Je travaille souvent en espace de coworking et la dernière fois il m'est arrivé de travailler en face de Guy Declair, himself! On s'est même permis de nous dire Bonjour!
  4. Le blog a obtenu ses premiers inscrits à la newsletter. Je tiens spécialement à les remercier!
  5. Une sorte d'euphorie s'est installée au vu du nombre de personnes qui m'ont proposé des "projets", des prestations, des idées et même de la bière. Il faudrait que j'arrive à convertir cette euphorie en énergie créatrice et inspiratrice.

Ce billet de blog marque le départ d'un long voyage dans l'Hyper Espace de l'Entrepreunariat et vous avoir à mes côtés permet de marquer mon engagement et mon implication dans chaque action, pensée et humeur que je relate ici.

Si vous avez aimé cet article, j 'aimerais vous demander de le partager à vos amis ou de rejoindre les fantastiques personnes qui se sont inscrites à la newsletter.

Si vous avez trouvé cet article ennuyant, ne vous inquiétez pas - Je rectifierai le tir la prochaine fois! Mon expérience du blogging a (encore) ses preuves à faire.

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